Montréal, le 2 avril 2024 — Plus d’une quarantaine de personnes s’étaient donné rendez-vous à la bibliothèque L’Octogone à LaSalle, le 28 mars, pour le volet Sud des « Conversations montréalaises ». C’était l’occasion pour les participantes et les participants de réfléchir aux projets qu’ils portent, mais aussi d’en parler avec d’autres, tenter de les améliorer ou développer des partenariats.
« On fait les conversations, parce qu’on veut prendre le pouls du terrain, vous entendre sur vos projets, vos initiatives. L’objectif est également de permettre d’initier des collaborations, d’apprendre à vous connaître. Ça va inspirer le CESIM », a indiqué Anyle Côté, directrice générale du Conseil d’économie sociale de l’île de Montréal (CESIM), l’organisme qui chapeaute cet événement.
Elle ajoute que cela permettra de nourrir les réflexions pour le prochain Sommet de l’économie sociale, mais aussi pour une grande « conversation montréalaise » prévue le 23 avril.
Durant l’atelier à LaSalle, les participantes et participants ont pu avoir des conversations à deux ou à plusieurs, mais également du temps de réflexion personnelle. Les informations consignées durant ces périodes ont toutes été récoltées par le CESIM.
Après chaque ronde d’échanges, celles et ceux qui le désiraient étaient invités à partager leurs impressions au groupe. De tous ces échanges, certains partenariats devraient naître, selon les souhaits exprimés par plusieurs.
D’autres ont retenu des « paroles de sagesse », mais aussi qu’il faut « réfléchir sur comment travailler avec les médias locaux qui couvrent ce qui nous intéressent et des projets porteurs ».
À la fin de l’évènement, les gens étaient invités à remplir une « carte postale » avec leurs souhaits pour leur projet. Le CESIM s’engage ensuite à les renvoyer à tout le monde.
Parole aux participantes et participants
« Il faut oser parler des idées un peu plus folles qu’on a parfois, ça peut aider à faire avancer certains projets. »
« Ce que je retiens, c’est le souhait commun d’une société qui fait plus de sens pour nous. »
« C’est vraiment énergisant de rencontrer autant de gens qui sont passionnés, qui sont engagés. »
« Encore en 2024, on doit parler d’inclusion et de diversité, mais j’espère que ça va changer rapidement. »
« Pour réaliser un projet de rêve, il faut se mettre en action. »