En cette année 2012, déclarée année des coopératives par les Nations Unies, l’École des sciences de la gestion de l’UQAM lance son nouveau programme court au deuxième cycle en Gestion des entreprises sociales et collectives. Ce programme répond à une demande croissante du secteur de l’économie sociale et vise à former des entrepreneurs et des gestionnaires capables de conjuguer une mission sociale et des activités économiques au sein de leurs organisations. Les premiers étudiants sont attendus dès septembre 2012.
Il est encore temps de s’inscrire au programme court en gestion des entreprises sociales et collectives pour l’automne 2012 !
La période d’admission est prolongée jusqu’au 1er juin 2012.
Un nouveau programme pour entreprendre et gérer autrement
Ce programme propose une formation spécialisée pour les gestionnaires d’entreprises sociales et collectives que sont les coopératives, les organisations à but non lucratif (OBNL), les organismes non gouvernementaux (ONG), les organismes communautaires et les fondations.
À l’issue de leur formation, les étudiants pourront intervenir selon des principes de coopération, de solidarité et de démocratie dans l’exercice de leurs fonctions, surtout en ce qui a trait à la gestion comptable, la gestion des ressources humaines, à la stratégie et la gouvernance.
La formation de 15 crédits (5 cours) est offerte à temps partiel, la fin de semaine, et peut être complétée en douze mois. De plus, elle fait partie de la Maîtrise par cumul de programme (MACUM ESG UQAM) qui combine le DESS en gestion, un programme court de 2e cycle ainsi qu’une activité d’intégration.
Maîtrise en administration des affaires (spécialisation en entreprises collectives)
L’ESG UQAM a déjà une avance sur les autres universités en matière d’offre de formation spécialisée aux organisations sociales et collectives, notamment grâce au programme de maîtrise en administration des affaires (MBA pour cadres) avec cheminement spécialisé en entreprises collectives, offert depuis 2001. Ce programme a pour objectif de rehausser le niveau de formation des gestionnaires de façon à les rendre davantage polyvalents dans l’exercice de leurs fonctions et plus aptes à assumer des responsabilités supérieures dans les organisations.
À venir à l’ESG UQAM : Colloque international sur les coopératives
Du 24 au 27 juin prochain, l’UQAM sera l’hôte du colloque « Coopérer pour le changement. L’année internationale des coopératives », qui regroupera près de 300 chercheurs d’ici et d’ailleurs. Le colloque sera accueilli par la Chaire de recherche du Canada en économie sociale de l’ESG UQAM.
À cette occasion, les principales organisations et réseaux de recherche sur les coopératives au Canada – l’Association canadienne des études sur la coopération (ACÉC), le Centre interdisciplinaire de recherche et d’information sur les entreprises collectives (CIRIEC Canada), le Comité de recherche sur les coopératives de Alliance coopérative internationale (ICACCR), l’Association of Cooperative Educators (ACE), l’Alliance de recherche sur la différence coopérative et l’Alliance de recherche sur le développement territorial et coopération (ARUC-DTC) – s’associent avec leurs plus importants regroupements coopératifs – l’Association coopérative canadienne (ACC), le Conseil canadien de la coopération et de la mutualité (CCCM), le Conseil québécois de la coopération et de la mutualité (CQCM), le Comité de la relève coopérative du Québec, la Ontario Student Co-op Association et la North American Students of Cooperation – pour organiser cette conférence.
L’ESG UQAM s’engage
Depuis plusieurs années, l’économie sociale et la responsabilité sociale et environnementale sont une dimension importante de la formation et de la recherche offertes à l’ESG UQAM.
L’École s’est donnée pour mission de former des gestionnaires et des professionnels compétents, créatifs, intègres, critiques et socialement responsables démontrant une ouverture sur le monde.
Elle compte, entre autre, la Chaire de coopération Guy-Bernier, la Chaire de recherche du Canada en économie sociale ainsi que la Chaire de responsabilité sociale et de développement durable.