Un premier partenariat international pour CycloChrome

« En nous aidant à comprendre où nous en étions dans le cycle de notre entreprise, les experts de L’économie sociale, j’achète ! nous ont permis de réaliser que le marché international était à notre portée. »

- Pierre-Luc Langlois, CycloChrome

L’école-entreprise spécialisée en mécanique de vélo CycloChrome vient de conclure avec la startup française Doctibike son premier partenariat international. Reconnue pour ses services de formation, d’entretien et de réparation qui font appel à des jeunes en voie de terminer leur secondaire, la compagnie montréalaise inaugure ainsi une toute nouvelle branche consacrée aux vélos électriques – après s’être surtout fait connaître pour son travail sur les vélos de la SPVM et de Bixi, ses principaux partenaires.

« Nous souhaitons devenir des chefs de file en matière d’entretien de vélos électriques, et je pense que le contrat avec Doctibike est extrêmement prometteur à ce niveau », estime Pierre-Luc Langlois, directeur général de CycloChrome, qui participe à L’économie sociale, j’achète ! depuis janvier 2019.

« L’initiative ne fait que commencer, et déjà, elle nous a aidés à mieux cibler l’image de la marque et les partenariats potentiels. Elle nous apprend aussi à bien expliquer ce qu’est l’économie sociale, ce qui nous a définitivement servi pour obtenir ce nouveau client », ajoute-t-il, en faisant référence à l’entreprise française spécialisée en gestion de batteries de vélos électriques.

Depuis 2016, CycloChrome est passée de 22 à 42 employés et sa croissance se poursuit à grande vitesse. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles Pierre-Luc Langlois raconte s’être inscrit à l’initiative. Puisqu’elle tient à donner à ses stagiaires l’opportunité de devenir employés, et à ses mécaniciens celle d’être superviseurs, l’école-entreprise est confrontée à d’importants défis de formation à l’interne.

CycloChrome offre aussi un service d’atelier mobile de mécanique vélo en entreprise, et son bassin de clients ne cesse d’augmenter. À cet égard, le directeur général se réjouit du réseautage que permet l’initiative : « C’est sûr et certain que les activités de maillage portent déjà fruit ! Les partenaires sont de grandes entreprises qui aiment offrir de bons services à leurs employés. L’initiative nous aide vraiment à nous faire connaître auprès d’eux ; c’est une très belle vitrine. » De nouveaux contrats avec de grands donneurs d’ordres sont donc à prévoir, en parallèle au développement du nouveau service associé aux vélos électriques.

CESIM

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