Les prix Phénix de l’environnement sont de retour


LES PRIX PHÉNIX SONT DE RETOUR EN 2013 AFIN DE CÉLÉBRER L’EXCELLENCE EN ENVIRONNEMENT AU QUÉBEC !

Québec, le 15 janvier 2013 – Les prix Phénix de l’environnement sont de retour pour une 16e année consécutive et la nouveauté est à l’honneur alors que la comédienne Sophie Prégent agira à titre de marraine de l’événement et sera également maître de cérémonie lors de la remise des prix au printemps 2013.

Les organisateurs des Phénix de l’environnement sont également fiers d’annoncer que l’événement s’associe à l’initiative #mardiDD (Mardi développement durable) sur Twitter. Cette nouvelle plateforme permettra tant aux finalistes et lauréats qu’aux partenaires et commanditaires du concours de partager et de mettre en valeur différentes initiatives liées au développement durable. Partenaires et commanditaires

Un nouvel élan pour le mouvement coopératif

À quelques jours de la fin de cette année charnière pour le mouvement coopératif, le moment est bien choisi pour dresser un bilan de 2 grands événements marquants en cette Année internationale des coopératives proclamée par les Nations Unies : le Sommet international des coopératives et le congrès Co-Operatives United.

Quoi de mieux pour en saisir le pouls que de vous faire part des meilleures citations de conférenciers présents à ces 2 événements incontournables en 2012.

« La Déclaration de Québec expose toute la force du secteur coopératif et plaide en faveur du rôle beaucoup plus important qu’il devrait jouer dans une économie plurielle. C’est à nous, leaders du monde coopératif, d’agir pour maintenir l’élan que nous a donné la dernière année. Nous devons continuer de bâtir sur nos réussites. Tout comme nous devons continuer d’inspirer d’autres leaders à s’engager. Nous vivons un moment charnière. La prochaine décennie pourrait bien être celle de la coopération, même que le 21e siècle pourrait devenir le siècle de la coopération. »
Monique F. Lerouxprésidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, cérémonie d’ouverture de l’assemblée générale annuelle de l’Alliance coopérative internationale (ACI), au congrès Co-Operatives United à Manchester, au Royaume-Uni

« Nous n’avons pas besoin de nous réinventer. Nous devons plutôt nous faire connaître davantage. »
Scott Bandachef de la direction de la Federated Cooperatives Limited (FCL), au Canada, table ronde 4 — Réaction des praticiens sur l’étude : ce qu’il y a d’étonnant ou de détonnant, le 10 octobre 2012, Sommet international des coopératives

Global Voices : le monde parle, écoutez-vous ?

Sans doute connaissez-vous Global Voices. Comme son nom le laisse penser, il s’agit d’un réseau de plus de 500 blogueurs du monde qui proposent naturellement une revue de blogs en une vingtaine de langues. L’idée est simple : traduire dans autant de langues cibles que possible des billets publiés dans une langue source. Pour ce faire, Global Voices recourt aux services de traducteurs volontaires qui sont aussi des blogueurs actifs.

Opposition média classique — média citoyen

Les objectifs de Global Voices sont très explicites :

  • attirer l’attention sur les conversations en ligne les plus intéressantes, sur les nouvelles perspectives qui émergent grâce à Internet dans le monde entier, en indiquant les liens vers des textes, photos, podcasts, vidéos et autre formes d’expression des individus sur Internet, dans le monde entier ;
  • faciliter l’émergence de nouvelles voix sur le Web à travers des formations, des tutoriels en ligne, et la promotion de logiciels libres et gratuits qui peuvent être utilisés sans risques par les internautes du monde entier pour s’exprimer ;
  • défendre la liberté d’expression dans le monde et protéger le droit des citoyens de relater des événements et d’exprimer des opinons sans craindre la censure ou la persécution.

Il ne s’agit donc pas d’un banal service de traduction de blogs mais d’une entreprise citoyenne qui souligne la différence entre les médias traditionnels et les médias alternatifs. Alors que les premiers sont accusés de véhiculer des stéréotypes et des opinions influentes, les second ambitionnent tout simplement de donner la voix au sans-voix, à ceux dont les histoires de vie ne feront presque jamais la une des grands journaux, à ceux dont le sort est souvent ignoré.